Résumé du rapport
Si vous avez lu les récents articles sur la technologie, vous savez que la gouvernance de l'informatique en nuage et les risques de sécurité qui y sont associés sont de plus en plus fréquents. Les violations et les expositions de données provenant du cloud restent un problème majeur pour les équipes de sécurité, car les solutions pour remédier aux vulnérabilités potentielles restent rares et les attaques continuent de se multiplier.
Les données de l'enquête The State of Cloud Survey 2021 de Dark Reading indiquent que l'une des plus grandes lacunes dans la sécurisation des ressources en nuage est un manque persistant de visibilité au sein des organisations. Les données de l'enquête révèlent également que si certains professionnels de l'informatique pensent maîtriser la gouvernance du cloud, la réalité ne correspond pas à leurs attentes.
L'enquête de cette année nous donne un aperçu des architectures en nuage les plus courantes utilisées par les entreprises aujourd'hui et des outils qu'elles utilisent pour suivre et gérer leurs actifs en nuage. Nous comprenons également mieux les perceptions qu'ont les décideurs en matière d'informatique et d'informatique en nuage de la sécurité globale offerte par ces outils. Nous avons comparé ces informations aux recherches menées par nos experts en sécurité à Censys Labs sur les déploiements réels d'applications en nuage observés sur l'internet. Nous avons constaté que les environnements en nuage sont beaucoup moins protégés et que la gouvernance est beaucoup moins sophistiquée que ne le pensent les professionnels de l'informatique.
Les résultats de l'enquête de Dark Reading et Censys Research Found :
- La visibilité et le suivi des actifs du cloud computing restent médiocres
- Disparité entre les résultats des recherches sur la sécurité du cloud d'une organisation et le sentiment d'efficacité personnelle avec lequel les personnes interrogées pensent pouvoir gérer les risques liés au cloud.
- Quels sont les outils de sécurité du cloud qui doivent encore être améliorés ?
- Dans l'ensemble, les actifs informatiques malveillants sont plus courants que les personnes interrogées ne le pensent.